Pen [ペン] consacre un article à ‘the tattoo writer‘, le livre des photographies d’Akimitsu Takagi sur le tatouage japonais à Tokyo dans les années 1950. Créé en 1997 à Tokyo, le magazine en ligne japonais fait référence dans les domaines de la culture et de l’art de vivre au Japon.
« Quand la mémoire refait surface grâce aux tatouages ».
L’article rappelle qu’ Akimitsu Takagi est un des plus grands romanciers japonais contemporains. Écrivain à succès spécialisé dans le roman policier, Takagi avait aussi une passion pour le tatouage traditionnel japonais. Appelé horimono ou irezumi, le tatouage japonais figuratif se développe au 19e siècle et atteint une sophistication inégalée dans la capitale d’Edo – l’ancienne Tokyo.
Un témoin de premier plan
Photographe amateur, il documente tatoueurs et tatoués à Tokyo dans les années 1950. Ces images, découvertes en 2017, mettent en lumière de manière inattendue son vif intérêt pour cet art underground. Resté inconnu jusque-là du grand public, sa découverte est une véritable surprise.
L’écrivain du tatouage
Et pourtant, la culture du tatouage au Japon est au coeur de l’intrigue de son premier roman paru en 1948. Celui-là même qui lance sa carrière d’écrivain. Intitulé Shisei Satsujin Jiken, il a été traduit pour la première fois en français en 2016. Irezumi est sorti chez l’éditeur Denoël.
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