Ces photographies sont issues de la collection personnelle de l’écrivain japonais Akimitsu Takagi. Inconnues jusqu’à leur découverte en 2017, ses photographies sont publiées pour la première dans le livre the tattoo writer.

 

Fou de tatouage, Takagi documente ce milieu dans les années 1950 à Tokyo. Il photographie ainsi les plus grands tatoueurs de son temps, les tatoué(e)s et l’iconographie traditionnelle toujours en vogue. À une époque où le tatouage est encore largement stigmatisé au Japon, il capture l’atmosphère particulière des studios clandestins de l’après-guerre et met aussi en lumière une clientèle oubliée jusque-là : les femmes.